Parce que culture rime aussi avec nature et que cette nature est trop souvent l’oubliée du territoire, parce que ruralité rime avec qualité, parce que les paysages d’ici invitent à leur contemplation et à leur sauvegarde, parce que les sentiers et forêts du Ventoux sont des lieux de rencontres sauvages uniques,
je propose en juillet 2025, en plus des soirées films sous les étoiles, 4 jours de parcours photos sur le site de l’hippodrome du Défends à Sault.
Avec le soutien de la société hippique, c’est sous les grands chênes centenaires que la magie du sauvage va opérer.
La campagne « Sursaut nature 2025 », se voit ainsi renforcée par la mise en place, in situ, de 50 photos grands formats (200 par 140 cm) ayant pour thèmes la lavande et la faune sauvage du Ventoux.
Des jours de sensibilisation, de rencontres, d’animations, de découvertes, de conférences, de projections.
En privilégiant le regard du photographe local de vie sauvage tourné vers le vivant et la sauvage beauté de notre Ventoux, la mise en place de ce parcours photos, porteur de messages, de passions et de convictions, s’annonce comme un événement attendu par le grand public.
Cette nouvelle expo pourra par la suite continuer à être visible sur demande lors de divers évènements.
La conjoncture économique du moment m’oblige à rechercher des partenaires.
Derrière mes images et leurs messages… il y a la passion d’un homme, d’un artisan photographe indépendant qui habite Sault et qui a créé sa propre galerie «La galerie du Ventoux» il y a 7 ans.
Au delà des images, mes films 100 % Ventoux sauvage représentent mon moyen d’expression favori.
Avec leurs programmations sur le territoire j’essaie de sensibiliser et de partager mon amour pour le sauvage et défendre cette nature fragile encore authentique.
Certes, il y a d’abord les grands moments de solitude mais qui sont sublimés lorsque viennent ensuite le temps du partage et de l’échange avec les publics.
Ma campagne « SURSAUT NATURE 2025 » consiste à diffuser ces films et donc à pénétrer, en la partageant, dans l’intimité de mes rencontres sauvages.
Avec elle, je veux croire en ce chemin, en ce rêve qui consiste à penser et à évoquer un territoire sans en oublier son patrimoine vivant sauvage trop souvent ignoré.
Pour une liberté de création et de diffusion : associations, privés,
entreprises, collectivités.. vous pouvez me soutenir et être associé
à mes images et aux valeurs qu’elles portent.
Grâce au succès de l’édition 2022 rassemblant près de 1 200 personnes en 3 représentations, à celui de 2024 ou sur 9 représentations ce sont près de 2 500 personnes qui sont venus assister et partager l’émotion de mes films, je souhaite continuer à promouvoir ce territoire d’exception au yeux du plus grand nombre.
Je veux, à nouveau, par ce projet 2025, sensibiliser à la diversité de la nature sauvage locale, mais aussi à sa beauté et à sa fragilité, afin de réinventer avec elle de nouveaux liens, et éprouver ce sentimentprofond d’un environnement partagé.
50 photos de 2 mètres par 137 cm. Le titre de l’expo « Ventoux : un hommes des lavandes et des loups »
Si vous estimez que mon travail et mon regard sur notre territoire compte pour sa promotion et participe à sa valorisation, il vous est possible de vous associer comme partenaire à mon projet de séances de cinéma en plein air et de création et mise en place du parcours photos« Sursaut nature ».
Vous pouvez faire partie de l’aventure à mes côtés.
Venez échanger avec moi à Sault à la Galerie du Ventoux , ou joignez moi au 06 20 63 70 87
Je reste à votre disposition pour évoquer ce projet 2025.
Avec Nicolas, le rapport au Ventoux prend une autre tournure, il ne s’agit plus de se mesurer à lui, de le défier à vélo mais bien d’en ressentir et de capter des indices, des mouvements, toutes les vibrations, les variations, les nuances, les lumières.
Nicolas Ughetto habitant de Sault, au pied du Mont Ventoux, est photographe de vie sauvage de profession depuis 2017. Son terrain de rencontres exclusif est le Ventoux. C’est dans de ce milieu mythique, les pieds en Méditerranée et la tête en arctique, qu’il se pose, se fond et affine ainsi son regard singulier et inédit sur la faune de ce géant de nature. En rendant visible, l’invisible, il est un passeur d’émotions. Son parcours, marqué par une exploration intense et un amour profond pour le vivant, reflète son engagement envers l’environnement et le territoire.
Pour Nicolas, chaque photographie est une histoire captivante, chaque instant passé à pister les hôtes sauvages du Ventoux est une immersion dans un univers parallèle où la frontière entre l’homme et la nature s’efface. Ses photographies ne capturent pas seulement des instants de vie sauvage,
des rencontres éphémères gravées dans nos mémoires, mais des moments fugaces, figés dans le temps, et surtout des émotions brutes.
Artiste engagé, il capture la beauté de la faune locale et met aussi en lumière l’emblématique loup du Ventoux.
Fasciné par cet animal symbole de liberté, il documente son réel impact sur l’écosystème local, sensibilisant ainsi les publics à la préservation de la nature sauvage.
À « la Galerie du Ventoux » à Sault, il ouvre les portes de son univers, invitant les visiteurs à partager son regard authentique et esthétique sur le Mont Ventoux.
Son dernier projet, «Sursaut Nature 2024», vise à sensibiliser le public à la beauté et à la préservation de la biodiversité locale à travers des projections sous les étoiles de ses films et de conférences : des rendez-vous d’exception.
Vous ne verrez jamais plus les lavandes et le Ventoux de la même façon après avoir vu ses photos ou ses films…
Le photographe ne fend pas l’espace, il s’installe dans le temps.
Alors ce Ventoux devient une citadelle de vie, un géant de la nature.
Oubliez alors la carte postale provençale du cabanon et des ombrelles chinoises dans les lavandes, oubliez les caravanes publicitaires, les cyclistes en danseuse, les clameurs de la foule.
La fièvre du tour retombée, le Mont Ventoux avec ses lavandes sauvages et ses champs cultivés offrent leur silence, leurs horizons sauvages à qui veut bien les cueillir.
Onctueuses et endormies sous la neige, japonaises et minimalistes quand elles dardent leurs brins épargnés, ces lavandes deviennent évanescentes et fumantes dans le brouillard puis guirlandes étincelantes dans la gelée du matin.
Leurs brins, clos et feuilles, vert de gris l’hiver, passent tour à tour aux beaux jours, du vert d’eau à l’opaline, l’amande ou la pâle émeraude.
D’abord bleues des mers du sud puis bleues célestes, les fleurs au printemps, au fil des jours et de la lumière, osent le cérulé ou l’azurin puis, délaissant les pastels, éclatent en bleu électrique, acier ou indigo nuancé de lilas et d’améthyste.
Ainsi, changeantes, les courbes parfois féminines de leurs tiges et de leurs rangées seront la garantie de mille rêveries et voyages différents à chaque jour ; quelquefois même, vous serez emporté par leurs bourdonnantes rumeurs d’été, envouté par leurs parfums pénétrants, tantôt agressifs ou camphrés, suaves ou sucrés selon les vents et le soleil.
Mais, elles sont pour lui sublimées lorsque bien alignées, figées, parallèles, disciplinées, mais aussi sauvages, fuyantes et ondulantes épousant la douceur des collines, elles deviennent furtivement l’espace d’un instant, couloirs d’entraînement, terrains de jeux, sauts d’obstacles ou simplement espaces de flâneries et de refuge pour quelques occupants sauvages des forêts voisines.
Dans cet univers NOMBREUX sont ceux qui espèrent aller à la rencontre du loup du Ventoux,
BEAUCOUP ne verront que celui de leur imaginaire.
QUELQUES UNS auront la chance de trouver des indices de présence : une empreinte douteuse dans la boue ou une déjection bizarre contenant des poils.
PLUS RARES ENCORE sont ceux qui suivront, dans la neige fraîche, des empreintes qui n’autoriseront pas le doute.
TRES PPEU croiseront furtivement une ombre, une forme, une silhouette qui pourrait bien être
celle qu’ils cherchaient.
Mais ceux qui auront, grâce à leur travail passionné, leur endurance, leurs minutieuses observations,
leurs patientes quêtes,…
le privilège de pouvoir faire une photo nette dans les lavandes SE COMPTENT seulement SUR LES DOIGTS D’UNE MAIN.
« Sursaut Nature 2024 » sur Mazan et Sault